Sommaire de l'ouvrage

Page de titre Le premier livre des discours de l'estat de paix et de guerre, de Messire Nicolas Macchiavelli, Secretaire & citoyen Florentin, Sur la premiere decade de Tite Live, traduict d'Italien en Françoys. Avec privilege du Roy. A Paris. On les vend au Palais en la galerie par ou lon va en la chancellerie en la boutique de Vincent Sertenas, Libraire. I548. [n. s.] [= f. ã1]
Epître dédicatoire A tresreverend prelat. M. Gabriel le Veneur, Evesque d'Evreux. Salut. f. ã2
Epître 1 Espistre. f. ã3v
Epître 2 Nicolas Macchiavelli à Zanobe Bondelmont & Cosme Rucelay. f. ã4
Epître 3 - Epître 4 Au mesme seigneur. Le seigneur des Essars N. de Herberay, au traducteur des discours de Necolas [sic] Macchiavelli. f. ã4v
Préface Discours de M. Nicolas Macchiavelli secretaire de la Seigneurie de Florence, sur la premiere Decade de Tite Live. Preface de l'aucteur. f. 1
Livre 1 / Chap. 1 Quel a esté le commencement des villes, & de Rome entre autres. Chapitre Premier. f. 2
Chap. 2 Combien y a de manieres de Republiques, & de laquelle estoit Rome. Chapitre. II. f. 3v
Chap. 3 Par quelle aventure furent créez à Rome les Tribuns du Peuple qui rendirent la Republique beaucoup plus parfaite. Chapitre III. f. 6
Chap. 4 Que la contrarieté du Senat & du Peuple de Rome a esté cause de sa liberté & grandeur. Chapitre IIII. f. 6v
Chap. 5 Entre les mains de qui liberté est plus seurement ou du Peuple ou des grandz seigneurs, & lequel est plus enclin à esmeute celuy qui veult aquester ou qui ne veult que garder le sien. Chapitre. V. f. 7v
Chap. 6 À sçauoir s'il estoit possible d'establir à Rome un estat qui empeschast les inimitiez du Peuple & du Senat. Chapitre VI. f. 9
Chap. 7 Comme les accusations sont necessaires en une Republique pour entretenir sa liberté. Chapitre VII. f. 11
Chap. 8 Que les calumnies font autant de mal en une ville que les accusations de bien. Chapitre VIII. f. 12v
Chap. 9 Comme il convient qu'un homme soit seul à ordonner une cité nouvelle, ou à la refformer tout de neuf autrement qu'elle n'estoit. Chapitre IX. f. 14v
Chap. 10 Autant que les fondateurs des Rep. & Royaumes sont à louer, autant ceux des Tirannies sont à blasmer. Chapitre X. f. 15v
Chap. 11 De la religion & cerimonie des Romains. Chapitre XI. f. 17v
Chap. 12 Que c'est que ne tenir conte de la religion & ne l'entretenir en son poinct: Et comme l'Italie en est perduë. Chapitre. XII. f. 19
Chap. 13 Comme les Romains s'ayderent de la religion à ordonner leur ville, à poursuyvre leurs eutreprises [sic] & appaiser leurs seditions & tumultes. Chapitre XIII. f. 20v
Chap. 14 Comme les Romains exposoient les Auspices à leur profit, les enfragnoient au besoing par discretion, & punissoient qui indiscrettement le faisoit. Chapitre. XIIII. f. 21v
Chap. 15 Comme les Samnites pour leur dernier refuge eurent recours à la religion. Chapitre. XV. f. 22v
Chap. 16 Qu'un païs acoustumé de vivre soubz un Roy, s'il vient en liberté à peine s'y peult il tenir. Chapitre XVI. f. 23v
Chap. 17 Qu'un païs corrompu & depravé, s'il sort de sujection, ne peult durer en cest estat. Chapitre XVII. f. 25v
Chap. 18 Comme lon peult mettre en liberté une cité corrompuë & s'elle y est, l'y maintenir & garder. Chapitre XVIII. f. 26v
Chap. 19 Qu'apres un excellent Prince s'en peult suporter un tel quel, mais non pas deux l'un apres l'autre. Chapitre. XIX. f. 28
Chap. 20 Comme deux successions continuées de Princes vertueux font de grandz choses. Chapitre XX. f. 29
Chap. 21 Quel blasme meritent ceux qui ne tiennent leurs sujetz aguerriz. Chapitre XXI. f. 29v
Chap. 22 Que c'est qu'on peult aprendre de l'histoire des trois Horaces Romains, & des trois Curiaces Albanois. Chapitre. XXII. f. 30
Chap. 23 Comme on ne doit à un coup mettre tout le sien à l'aventure, qu'on ne desploye aux champs l'arriereban de sa puissance. Chapitre. XXIII. f. 30v
Chap. 24 Es republiques bien reiglées y a guerdons & peines ordonnées selon les merites, & n'y eschet aucune compensation. Chapitre XXIIII. f. 31v
Chap. 25 - Chap. 26 Que celluy qui veult reformer l'estat ancien d'un païs en doit retenir l'apparence. Chapitre. XXV. - Un nouveau Prince doit faire toutes choses nouvelles en païs de conqueste. Chapitre XXVI. f. 32v
Chap. 27 Qu'il n'y a gueres de gens qui sçachent estre tous bons ou tous mauvais. Chapitre XXVII. f. 33
Chap. 28 Pourquoy les Atheniens furent plus ingratz à leurs citoyens que les Romains. Chapitre. XXVIII. f. 34
Chap. 29 Lequel est le plus ingrat. un Roy ou un Peuple. Chapitre XXIX. f. 34v
Chap. 30 Que doibt faire un Roy ou une seigneurie pour se garder du vice d'ingratitude, & les capitaines & citoyens pour n'en recevoir encombrier. Chapitre XXX. f. 36
Chap. 31 Que Rome ne punissoit ses capitaines de peine extraordinaire, quelque faulte qu'ilz eussent faicte à leur escient ou par ignorance, & quelque dommage qu'elle en eust receu. Chapitre XXXI. f. 36v
Chap. 32 Un Roy & vne seigneurie ne doit attendre à la necessité à user de gracieuseté aux siens. Chapitre XXXII. f. 37v
Chap. 33 Quand un mal naist & croist en une republique il vaut mieux temporiser que le hurter de pleine violence. Chapitre XXXIII. f. 38
Chap. 34 Quel l'estat de Dictature ne fut que tresprofitable à Rome, & que les authoritez qui sont données de franche elite ne nuisent, mais celles qu'un homme prend & usurpe de luy mesme. Chapitre XXXIIII. f. 39v
Chap. 35 D'ou vint que le Decemvirat fit tant de dommage à Rome, veu qu'il se creoit par voix & suffrages francz & publiques. Chapitre. XXXV. f. 40v
Chap. 36 Ceux qui ont esté en grand'dignité ne doivent avoir honte d'une moindre. Chapitre. XXXVI. f. 41
Chap. 37 Des scandales que fit à Rome la loy Agrarie, & que c'est le propre de toutes loix qui regardent trop derriere. Chapitre XXXVII. f. 41v
Chap. 38 Une petite seigneurie ne peut estre bien resoluë & en cas de deliberacion ne prend jamais le bon party si necessité ne luy renge. Chapitre XXXVIII. f. 43
Chap. 39 Que lon voit souvent pareilz accidens en divers Peuples. Chapitre XXXIX. f. 44
Chap. 40 De la creation du decemuirat à Rome, & des poinctz qui y sont à considerer, & entre autres comme lon peult ruïner & sauver un païs par mesme moyen. Chapitre XL. f. 45
Chap. 41 - Chap. 42 Qu'il n'est pas bon à un homme de saulter d'humilité en arrogance, & d'humanité en cruauté sans moyen. Chapitre XLI. - Comme les hommes se changent aysémeut. [sic] Chapitre. XLII. f. 48
Chap. 43 Que ceux qui combatent pour leur honneur propre sont bons & loy aux soudardz. Chapitre XLIII. f. 48v
Chap. 44 Que c'est peu de chose d'une compagnie sans chef, & qu'il ne fault pas menacer puis s'armer. Chapitre XLIIII. f. 49
Chap. 45 Que c'est chose de mauvais exemple d'enfraindre une loy qu'on vient de faire, mesmement quand celuy la rompt qui l'a faite: Et qu'il y a gros danger à continuer par peines sur peines la persecution de quelque estat d'une ville. Chapitre. XLV. f. 49v
Chap. 46 Que les gens communéement sautent d'une convoitise à l'autre, & pensent à assaillir leur ennemy avant que s'estre fortifiez. Chapitre LXVI. f. 50v
Chap. 47 Que si les gens s'abusent en gegeneral [sic], en particulier ilz ne faillent pas ainsi. Chapitre XLVII. f. 51v
Chap. 48 Pour faire qu'un office ne soit conferé à meschans gens, ou de trop vile condicion il en fault à tiltrer de miserables & detestables qui le demandent ou de tresparfaitz & tresnobles. Chapitre XLVIII. f. 53
Chap. 49 Si les villes nées en liberté ont tant de peine à trouver loix qui les y maintiennent, celles qui ont eu leur naissance serve & subgette en doivent bien avoir. Chapitre. XLIX. f. 53v
Chap. 50 Qu'on ne doit laisser en la puissance d'un office ou d'un Conseil de retenir & arrester le cours des actes publiques. Chapitre. L. f. 53v [= f. 54v]
Chap. 51 Comme un Prince & une seigneurie doibt faire de necessité vertu. Chapitre. LI. f. 54 [= f. 55]
Chap. 52 Le meilleur moyen & le plus seur pour reprimer l'insolence d'un grand seigneur, ce'st [sic] de luy trancher le chemin par ou il pretend parvenir à ses fins. Chapitre. LII. f. 54v [= f. 55v]
Chap. 53 Souventesfois le Peuple demande sa perte pensant que soit son bien, & se paist de haulte esperance & de braves promesses. Chapitre. LIII. f. 56v
Chap. 54 Quelle vertu a un grand personnage pour apaiser une sedition populaire. Chapitre. LIIII. f. 58
Chap. 55 Comme les affaires se portent voluntiers bien en vne ville ou la commune n'est corrompuë, & qu'il n'est possible d'eriger Royaume en lieu ou eguallité regne, sans laquelle au contraire on ne sçauroit fonder une republique. Chapitre. LV. f. 58v
Chap. 56 Quand quelque grand'fortune doit aduenir à un païs, il y a tousjours gens & signes qui en advertissent devant. Chapitre. LVI. f. 61 [= f. 60]
Chap. 57 Qu'un Peuple assemblé est fort, à part est moins que rien. Chapitre. LVII. f. 61v [= f. 60v]
Chap. 58 Qu'un Peuple est plus sage & constant qu'un Prince. Chapitre. LVIII. f. 61v
Chap. 59 Quelle ligue ou alliance est plus seure d'une Communauté ou d'un Prince. Chapitre. LIX. f. 63v
Chap. 60 Comme le Consulat & les autres estas de Rome se donnoient, sans avoir egard à l'aage. Chapitre. LX. f. 64v
Achevé d'imprimer Fin du premier livre des discours de Macchiavelli, imprimé par Estienne Groulleau, libraire demourant en la rue Neuve nostre Dame à l'enseigne saint Jan Baptiste. f. 61 [= f. 65]
Table S'ensuyt la table du premier livre des discours de M. Nicolas Macchiavelli... f. 61v [= f. 65v]